« En effet, le péché n’aura pas de pouvoir sur vous, puisque vous n’êtes plus sous la loi mais sous la grâce. » rappelait Paul aux Romains au chapitre précédent. Ici, il étaye cette affirmation en explicitant le rapport entre le péché et la loi, celle donnée par Dieu au peuple hébreu dans l’Ancien Testament. Cette loi est sainte, juste et bonne, et Jésus disait qu’il ne l’abolirait pas, car “tant que le ciel et la terre ne passeront point, il ne disparaîtra pas de la loi un seul iota ou un seul trait de lettre, jusqu’à ce que tout soit arrivé» (Matthieu 5:17-18). Au lieu de l’abolir, il est venu l’accomplir, vraiment.